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Depuis le mois de décembre, Amandine Pellissard a pu annoncer sa reconversion dans le monde du X. Dans cette nouvelle voie, elle bénéficie du soutien actif de son mari Alexandre. Et cela ne semble pas beaucoup plaire non plus. Depuis cette annonce, elle a pu prendre plusieurs fois la parole. Que cela passe par son compte Instagram ou même sur les plateaux télévisions. Notamment dans l’émission Touche pas à mon poste. Justement, lors de cette émission, elle a semblé marquée par une chroniqueuse en particulier, Géraldine Maillet. On vous explique tout ici.
Amandine Pellissard, son changement de vie
Depuis la toute première saison de l’émission Familles nombreuses, Amandine Pellissard et sa famille participent. Mais, cela ne semble plus d’actualité. Elle a annoncé sur son compte Instagram que la famille ne participerait plus. Mais, elle a également avoué qu’elle changeait de voie. En effet, depuis ses débuts, Amandine Pellissard a bien changé.
Effectivement, quand Amandine Pellissard participait pour la première fois, sa famille semblait surtout vivre grâce aux aides de l’État et les revenus du mari Alexandre. Mais, après sa première participation, la mère de famille a bien vite plu au public. Et a gagné de nombreux abonnés sur Instagram. De quoi même lui permettre de devenir influenceuse. Désormais, elle vit donc de l’argent de ses posts, vidéos, placements de produits… Mais également de son contenu X qui en l’espace d’un mois a généré près de 26 000 euros selon le couple.
En revanche, Amandine Pellissard a beau dire que cette décision n’influence pas ses enfants, ou même leurs éducations, cela ne semble pas convaincre grand monde. La plupart des internautes s’inquiètent du harcèlement que ses huit enfants pourraient subir. Même si son fils aîné, Léo, de 17 ans, avoue lui n’avoir aucun problème. Il soutient même ses parents dans cette démarche.
Géraldine Maillet, en colère
Ainsi, pour expliquer son choix et continuer à profiter du buzz, Amandine Pellissard a pu se rendre sur le plateau de TPMP. Mais si sur ce dernier, elle a pu rencontrer des clash avec les chroniqueurs. Surtout Géraldine Maillet qui paraissait particulièrement remontée. À tel point que jeudi dernier, Amandine Pellissard et son mari se sont confiés à Gossip Room. Ils ont pu donner leurs points de vue sur le comportement de la chroniqueuse.
Amandine Pellissard déclare donc que :
“Quand j’entends Géraldine Maillet dans TPMP qui me dit ‘qu’on nous avait reproché dans le reportage qu’on avait tourné avec mon pote Jerem’ qu’il y avait nos accessoires dans le coffre convertible du canapé. Déjà il faut quand même rappeler que ce n’est pas un tiroir, mais c’est un coffre convertible qui est complètement verrouillé, les enfants ne peuvent pas l’ouvrir d’une part […], et les accessoires ne sont absolument pas là”.
Pourtant, les mots d’Amandine Pellissard n’atteignent pas Géraldine Maillet. Elle ajoute tout de même.
“Quand je dis ça à Géraldine Maillet elle trouve encore le moyen de me dire : ‘oui, mais ce n’est pas normal d’avoir un g*de là, le fouet là’. Et pourquoi ? Combien de couples ont des s*xtoys? Combien de couples ont des accessoires?”.
Ce à quoi son mari rebondit en disant :
“Il n’y a rien de mal là-dedans donc oui on a toujours une sexualité débridée et on est absolument pas perdus. Je crois que notre GPS fonctionne bien, on sait où on va”.
Le conseil de la mère de famille
Toute cette situation a permis à Amandine Pellissard de trouver ce dont Géraldine Maillet avait besoin, selon elle.
“Je pense que Géraldine Maillet comme beaucoup des donneuses de son type sont les premières qui devraient balayer devant leurs portes”. Et elle ajoute “On ressent quand même qu’il y a quelque chose de très enfoui en elle, de très haineux. Je ressens quand même une haine envers les femmes en général. On sent qu’elle est tout de suite très virulente avec les femmes dès lors qu’on est un peu hors des sentiers battus et puis on n’est pas dans des cases. Donc, moi j’invite plutôt à se recentrer sur elle-même et peut-être à faire une petite thérapie, ça ne lui ferait pas de mal, je pense”.
