Booder : ”En décembre, il ne sera plus là” il évoque le pronostic des médecins à sa naissance

L’humoriste Booder est bien loin d’avoir eu une enfance comme les autres, alors qu’il semblait condamné à mourir, il prouve le contraire...

© Crédits photos : Getty Images

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Ce dimanche 12 février, Booder pourra faire son apparition dans l’émission de RTL Le Bon Dimanche show. L’occasion pour ce dernier de se confier auprès de Bruno Guillon sur son début de vie peu commun. En effet, à peine né, le médecin du village ne semblait lui donner que peu de temps à vivre, et pourtant, il est encore là. D’après ses mots, il vit sa deuxième vie. On vous explique tout ici. 

Booder, une lourde histoire 

Comme de nombreuses personnes qui dédient leur vie à faire rire les autres, Booder n’a pas toujours eu une histoire simple. Il se trouve que l’humoriste a commencé sa vie dans des conditions difficiles dès sa naissance. Cette histoire, que peu de gens connaissent, l’humoriste a décidé d’en parler dans Le Bon Dimanche Show sur RTL. Face à Bruno Guillon, il a donc décidé d’aborder ce sujet parfois difficile, mais qui lui permet de vivre deux fois plus fort. 

Nos confrères de Gala ont donc réussi à avoir l’exclusivité de cet entretien qui se diffusera dès ce dimanche sur RTL. Dans cette dernière, Booder revient sur son enfance, son pronostic vital de l’époque et sa façon de vivre aujourd’hui. En effet, l’humoriste est Français, mais aussi Marocain, d’ailleurs, c’est bien au Maroc qu’il a pu voir le jour

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Quand Booder a pu voir le jour, il se trouvait donc au Maroc, dans un village. Mais à sa naissance, il est né avec une complication. Ce dernier souffrait d’une bronchiolite aigüe. Un problème que le médecin de son village semblait bien mal connaître. Cette dernière entraîne des asphyxie à répétitions, signe de mauvais présages pour le médecin. En effet, ce dernier ne donnait que quelques mois de vie à l’humoriste.

Le docteur du village, qui était aussi électricien, plombier […] quand il m’a vu arriver au monde, il a dit à maman : ‘Lui, normalement au mois de décembre, il ne sera plus là‘. Il avait même dit le 12 [décembre, ndlr], donc il était très précis sur la date”. 

Une vie à 200 %

Mais, le père de Booder, lui, avait étudié en France, et connaissait bien ce pays. Il a toujours eu l’air confiant quant à la santé de son fils. Comme l’humoriste le rapporte, son père savait qu’il allait vivre. Cela reste ce qu’il a d’ailleurs dit à la jeune maman de l’époque. Et visiblement, il a bien eu raison. En revanche, même si Booder n’y a pas perdu la vie, il y a tout de même eu des complications. 

Il se trouve que les sept premières années de vie de Booder n’ont pas semblé normales. En tout, il a passé trois années continues à l’hôpital. Et après quatre années supplémentaires avec des va-et-vient pour des soins. Une situation qui a heureusement permis à l’humoriste de la voir la vie sous un autre angle. Mais, s’il n’aborde que peu souvent le sujet, il a ses raisons.

Je le dis maintenant, j’avais beaucoup de mal à le dire avant parce que je ne voulais pas qu’on me regarde avec les yeux de la pitié”. 

Pour Booder, cette vie qu’il a désormais s’apparente plus à une deuxième vie. Une qu’il souhaite toujours du bon côté et toujours le positif. Il reste reconnaissant de ne pas avoir perdu la vie quand le médecin le disait. Et, depuis, il confie préférer se concentrer sur le positif

Sources : gala.fr

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