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Dans notre quotidien, la voiture reste un élément indispensable. Synonyme de liberté, surtout pour ceux vivant dans des zones peu desservies par les transports en commun. Ceci dit, cette liberté a un coût. Ces dernières années, le prix des véhicules, qu’ils soient neufs ou d’occasion, a considérablement augmenté en raison des technologies embarquées. Souvent responsables d’une fiabilité moindre. À cela s’ajoutent le prix élevé du carburant et les frais d’entretien qui ne cessent d’augmenter. Et pour ne rien arranger, le contrôle technique, obligatoire, exige un véhicule en parfait état. Enfin, la pollution automobile et la transition vers l’électrique posent des défis majeurs. Davantage avec l’objectif de 66 % de véhicules électriques d’ici à 2030. Pourtant, les récentes mesures semblent freiner cette volonté.
Le bonus écologique en chute libre pour les voitures électriques
La voiture électrique, bien qu’au cœur de la transition énergétique, reste un investissement coûteux. Son prix, combiné à une autonomie parfois limitée, des infrastructures insuffisantes et des problèmes de fiabilité, en fait un défi majeur. Le bonus écologique, conçu pour encourager l’achat de véhicules électriques, sera réduit dès janvier 2025. Cette aide financière sera désormais calculée en fonction des revenus.
Par exemple, pour un revenu fiscal de référence de 15 400 euros, le bonus maximal passera de 7 000 euros à 4 000 euros. Par ailleurs, le malus écologique sera renforcé, impactant les véhicules les plus polluants.
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Quid du contrôle technique ?
Face à la volonté de réduire drastiquement les émissions polluantes, des changements sur le contrôle technique étaient envisagés. Notamment pour les voitures Diesel équipées de la technologie AdBlue. Laquelle réduisant les émissions de microparticules. Cela dit, cette technologie affecte selon les usagers la fiabilité des moteurs. Finalement, aucune réforme majeure n’a été annoncée, et le contrôle technique restera inchangé, du moins pour le moment.
En somme, les mesures prévues pour 2025 marquent un tournant pour les automobilistes, entre réduction des aides, durcissement des contraintes écologiques et maintien des obligations d’entretien. Ces décisions risquent d’avoir des répercussions significatives sur le budget des ménages et la transition écologique.